Annuaire, n° 5
Annuaire, n° 5.
Les deux premières pages du discours préliminaire de ce numéro présentent une
distinction utile à faire relativement aux différentes manières dont on peut
s'occuper de météorologie, et une appréciation de la valeur de ces manières.
Ensuite, après quelques réflexions de peu d'intérêt pour le public, on trouve
l'exposition du précepte suivant qui doit être conservé.
“ Tout état de choses dans l'atmosphère, à toute époque quelconque, résulte
non-seulement d'une réunion de causes qui tendent à l'opérer, mais encore de
l'influence de l'état de choses qui existoit auparavant ”. Page 5.
Je confirme ici ce que j'ai dit à cet égard ; savoir : que cette vérité est si
importante à considérer, qu'elle doit être rangée parmi les aphorismes
météorologiques.
Le reste du discours préliminaire ne contient presque plus rien qui mérite qu'on
s'en occupe, si l'on en excepte l'observation (p. 10) qui détermine le systême
des déclinaisons, comme le plus puissant des systêmes d'influence de la lune.
Je passe maintenant à la page 109, où commence l'exposé de plusieurs réflexions
propres à montrer le fondement de l'étude de la météorologie. Ces réflexions me
paroissent
|
|